Sans doute soufflée par un conseiller de l’ombre un peu mégalomaniaque, l’idée a d’abord été de tenir ce premier conseil municipal à la halle polyvalente.
Heureusement que celle-ci n’était pas disponible car, vu le gymnase du Palio loin d’être rempli, cela aurait donné une certaine impression de vide.
L’ambiance de ce conseil a été relativement sereine, hormis quelques manifestations d’hostilité qui montrent bien que quelques uns se complaisent dans leur médiocrité.
Nous n’avons bien entendu présenté aucun candidat à l’élection du poste de maire.et nous sommes abstenus sur ce vote.
Nous n’avons pas pris part au vote concernant le nombre d’adjoints. Cela concerne le fonctionnement interne du groupe majoritaire et nous n’avions donc aucun avis à émettre.
Nous n'avons également présenté aucun candidat sur les postes d'ajoints et nous sommes abstenus sur ces votes.
Le discours d’investiture du Maire s’est voulu très consensuel et plein de bonnes intentions. Deux remarques sur cette intervention.
L’annonce de premières mesures d’urgence dans le domaine social par le CCAS, laisserait à penser que l’action passée n’était pas suffisante. Muriel Giniès, aujourd’hui 3è adjointe était pourtant dans la précédente équipe adjointe déléguée au secteur et,dans le Istres Mag de novembre se félicitait de l’action menée durant 4 ans : « pour moi, la solidarité fait partie de notre art de ville ».
Nicole Joulia se revendique également délibérément dans la majorité politique du San. C’est pourtant bien elle qui, durant la campagne, disait du San qu’il « se considère aujourd’hui comme une entité au-dessus des villes » et approuvait les propos de François Bernardini parlant de « véritable stratégie d’affaissement d’Istres ». Il faut aujourd’hui assumer ces propos imprudents et loin de la réalité.
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